Je vous ai expliqué, dans
l'épisode 1 de l'état des lieux, que la carrosserie de l'Isetta
Velam et la plupart de ses composants étaient ''sauvables''. A priori, le budget à consacrer à la restauration semblait devoir rester inférieur à celui que j'aurai engagé si j'avais acheté une
Isetta Velam roulante.
Mais l'examen de l'état des dessous m'a ramené à la raison : y a du boulot ! Et je ne m'en sortirai pas sans vider une partie de ma tirelire ...
Par mesure de sécurité, je changerai les flectors. Un pot d'échappement neuf est à prévoir. |
- A l'arrière, le
faux châssis et ses composants sont globalement préservés de la
rouille par un généreux cambouis composé d'huile et de boue.
Pourtant, le moteur est bloqué (j'y reviendrai dans un prochain
billet).
Les amortisseurs
sont bons à jeter. Si j'en crois le compteur ils n'ont pourtant
encaissé que 17.000 kilomètres.
Des auréoles aux
extrémités du carter du pont laissent penser que les joints
d'étanchéité (7, 31 et 55 sur la planche transmission - cliquez dessus pour l'agrandir) sont à
changer.
Les anneaux Neiman
sont cassés, il faudra changer les joints de pivot (31 et 34 sur la
planche train avant et frein) et deux butées (20, sur la planche à droite - cliquez dessus pour l'agrandir).
A changer aussi,
le réservoir de liquide de frein, les durites en caoutchouc ainsi que les caches poussières des cylindres de
roue. Le maître cylindre, particulièrement exposé aux projections,
nécessitera au minimum une réfection.
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