Heureux et pragmatique

Ce soir, je suis très heureux d'avoir reposé les trains roulants.
Je l'ai fait tout seul, faute d'avoir des amis disponibles aujourd'hui.
Forcément, je suis épuisé et je n'ai plus d'énergie pour écrire.

Je vous propose donc d'aller voir les avancées sur la page facebook :
http://www.facebook.com/VELAMIsetta

Promis, je prendrai le temps dans les jours qui viennent de partager les joies et les peines vécues lors du remontage des trains roulants.

Train avant, remontage en cours

Juste pour le plaisir, un instantané du remontage du train avant.
Promis juré craché, je posterai une photo de cet élément de l'Isetta VELAM au complet, avec tambours etc.

En arrière-plan, l'indestructible jouet de mes enfants (à gauche),
et, à droite, un Englebert 4.40 x 11 bon pour la poubelle.

Pignons à l'huile

Ci-dessous une vue de dessus de la boîte de vitesses ouverte avant dîner.
A priori, c'est en bien meilleur état que les cylindres.

Juste après avoir ôté le couvercle. Boîte dans son jus. Kilométrage inconnu.

Le démontage / nettoyage restant à faire sur l'ensemble boîte / moteur permettra de le savoir.
Mais ce n'est pas pour tout de suite. 
Je veux d'abord me "débarrasser" du train avant et de l'habitacle (si vous avez une banquette qui traîne, je suis intéressé !). 
Ca libérera de la place dans les étagères.
J'en ai besoin pour stocker le moteur et les diverses pièces de la brouette. 
Ce sera l'occasion de faire un tri entre ce que je garde et ce que je cède pour financer l'achat de pistons et la réfection des cylindres.

Déception

Ce week-end j'ai acheté une "brouette". C'est ainsi que les initiés surnomment le faux-châssis de la VELAM paraît-il.

Sur photos, elle ne paraissait pas pire que les éléments dont je dispose.
A priori, seuls les pistons, le carburateur, le pot d'échappement et les volutes manquaient.
Oh bien sûr le tout était dans une gangue de cambouis, mais si vous vous souvenez de ce que j'ai récupéré, pas de quoi reculer (voir là : http://isettavelam.blogspot.fr/2012/01/etat-des-lieux-episode-2.html)

Le début du démontage confirmait la bonne pioche. Pas de frottements audibles de la chaîne sur le carter de transmission finale, encore de l'huile dans la boîte et le bas moteur ... pas bloqué. 

Las, quand j'ai déculassé, j'ai trouvé la même chose que la plupart d'entre vous : des cylindres rayés dont le traitement de surface commence à s'arracher.

C'est "moins pire" que le cylindre équipant l'Isetta que l'on m'a donné. Mais je n'échapperai pas à une réfection précédée de l'achat de pistons/segments.

A suivre : demain j'ouvre la boîte !

Petit à petit ...

Plutôt qu'un article, voici deux photos des avancées récentes.

- L'habitacle (thibaude posée, circuit électrique en place, roue de secours aussi) :

Amis tatillons, merci de comprendre qu'il s'agit
d'une photo de travaux en cours. ;-)
Les plexi et leurs joints sont en place, pas les clés de joints.

- La "brouette", sans l'ensemble moteur / boîte :

J'ai fermé le pont sans traiter la question du tendeur de chaîne (voir billet du 29/04/13).
Avec les carters en place, la chaîne neuve ne frotte plus.
Je vous ai épargné la fabrication des joints papier.
Vous savez les faire n'est-ce pas ?

Vous la reconnaissez ?

Un collectionneur et passionné m'a envoyé une photo de sa VELAM.
Il souhaiterait avoir des informations sur sa vie avant son arrivée aux Etats-Unis.

Vous reconnaissez cette Isetta ? 
Vous pouvez aider le nouveau propriétaire de cette microcar à connaître son histoire ?

Merci de m'adresser un mail ( isettavelam49 (at) gmail.com ) ou de remplir la zone commentaires !